Un test grandeur nature
Edumix 100% distanciel c’était deux jours pleins, des idées qui naissent et qui se concrétisent, des relations de pairs à pairs qui se nouent. Même à distance, on retrouve la même capacité à créer des liens et un esprit d’équipe.
Le format à distance a certes quelques inconvénients : il ne facilite pas les relations informelles qui se nouent habituellement entre les temps de travail et on ressent un peu moins d’énergie et d’enthousiasme en plénière que lors d’une session présentielle. Par contre, il oblige à une rigueur dans les échanges qui permet d’avoir une belle productivité collective et il permet plus facilement de garder des traces des productions et du rendu.
L’aventure est loin d’être terminée pour ces projets qui n’en sont qu’à leurs premiers pas. Les problématiques ont été partagées par tous, travaillées et étudiées par des équipes plurielles issues de différents établissements et ont aboutit à des objectifs partagés.
On peut retenir deux grands intérêts pour cette démarche : d’une part, c’est l’occasion de mettre en lumière des méthodologies contributives innovantes que les pédagogues pourront réutiliser dans leurs établissements respectifs, d’autre part les équipes ont fait des propositions très concrètes qui sont pour certaines directement utilisables et pourront se concrétiser ou se décliner prochainement.
Le monde d’après :
Comme l’évoquait Jean-Charles Cailliez en ouverture de la deuxième journée, l’enjeu du monde d’après n’est ni le tout distanciel ni du tout présentiel, ni un enseignement complètement magistral ni un enseignement complètement collaboratif. Pour apprendre, il faut alterner, essayer, expérimenter, faire et refaire.
En plénière de clôture Madame Leclerc, Vice-Présidente à l'éducation et à l'apprentissage, Région Centre-Val de Loire appuie “l’idée de s’approprier des outils et de les construire par ceux qui connaissent le mieux les contraintes des apprenants et des établissements : les formateurs.”
C’était donc une édition pleine de promesses. Les propositions ont généré une certaine connivence dans la manière de résoudre les problématiques. Elles démontrent qu'en matière d’enseignement distanciel, les formateurs ont encore besoin d’outils et d’échanges de pratiques. Tous s’accordent pour affirmer qu’en matière de collaboration c’est pas tant le numérique qui change la donne mais le désir de faire ensemble.
Catherine Lauret, du service formation de la Région qui est en charge particulièrement de la digitalisation de la formation en région, souligne la qualité de l’organisation et met en perspective le besoin de continuité à donner à ce type de démarches.
Il est donc prévu de donner suite à cette première étape d’une pépinière d’innovation pédagogique en accompagnant les établissements dans la mise en oeuvre et le partage de ces projets et bonnes pratiques.
Edumix 100% distanciel c’était deux jours pleins, des idées qui naissent et qui se concrétisent, des relations de pairs à pairs qui se nouent. Même à distance, on retrouve la même capacité à créer des liens et un esprit d’équipe.
Le format à distance a certes quelques inconvénients : il ne facilite pas les relations informelles qui se nouent habituellement entre les temps de travail et on ressent un peu moins d’énergie et d’enthousiasme en plénière que lors d’une session présentielle. Par contre, il oblige à une rigueur dans les échanges qui permet d’avoir une belle productivité collective et il permet plus facilement de garder des traces des productions et du rendu.
L’aventure est loin d’être terminée pour ces projets qui n’en sont qu’à leurs premiers pas. Les problématiques ont été partagées par tous, travaillées et étudiées par des équipes plurielles issues de différents établissements et ont aboutit à des objectifs partagés.
On peut retenir deux grands intérêts pour cette démarche : d’une part, c’est l’occasion de mettre en lumière des méthodologies contributives innovantes que les pédagogues pourront réutiliser dans leurs établissements respectifs, d’autre part les équipes ont fait des propositions très concrètes qui sont pour certaines directement utilisables et pourront se concrétiser ou se décliner prochainement.
Le monde d’après :
Comme l’évoquait Jean-Charles Cailliez en ouverture de la deuxième journée, l’enjeu du monde d’après n’est ni le tout distanciel ni du tout présentiel, ni un enseignement complètement magistral ni un enseignement complètement collaboratif. Pour apprendre, il faut alterner, essayer, expérimenter, faire et refaire.
En plénière de clôture Madame Leclerc, Vice-Présidente à l'éducation et à l'apprentissage, Région Centre-Val de Loire appuie “l’idée de s’approprier des outils et de les construire par ceux qui connaissent le mieux les contraintes des apprenants et des établissements : les formateurs.”
C’était donc une édition pleine de promesses. Les propositions ont généré une certaine connivence dans la manière de résoudre les problématiques. Elles démontrent qu'en matière d’enseignement distanciel, les formateurs ont encore besoin d’outils et d’échanges de pratiques. Tous s’accordent pour affirmer qu’en matière de collaboration c’est pas tant le numérique qui change la donne mais le désir de faire ensemble.
Catherine Lauret, du service formation de la Région qui est en charge particulièrement de la digitalisation de la formation en région, souligne la qualité de l’organisation et met en perspective le besoin de continuité à donner à ce type de démarches.
Il est donc prévu de donner suite à cette première étape d’une pépinière d’innovation pédagogique en accompagnant les établissements dans la mise en oeuvre et le partage de ces projets et bonnes pratiques.